Une semaine forte en émotions !

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La semaine dernière fut riche en émotions diverses et elle fut sans doute la première semaine où la campagne régionale s’est installée en haut de l’affiche.

Lundi, Jean Lassalle a présenté sa liste FORCES AQUITAINE en Gironde. A titre personnel, ce fut un moment d’autant plus important que j’ai l’honneur mais aussi la responsabilité de faire partie de cette liste menée par Jean.

Puis mardi et mercredi, ce fut probablement le plus gros événement médiatique de ce début de campagne avec l’annonce de notre porte-bonheur n°13 : Marouane Chamakh.

Avec l’arrivée parmi nous de cet aquitain de naissance et de cœur, joueur emblématique des Girondins et acteur associatif bien connu des quartiers de l’agglomération bordelaise, nous avons changé de dimension :  avec le déferlement de la presse locale et nationale, c’est une prise de conscience par le grand public de l’éminence des élections régionale qui dépasse le cadre partisan et les frontières de la région.

Jeudi, tradition girondine incontournable : la fête des « Bœufs gras » à Bazas. Comme l’année dernière, Jean Lassalle ne pouvait rater ce rendez-vous. Elections obligent, cette année, il n’était pas seul, puisque Alain Rousset et Xavier Darcos avaient également fait le déplacement.

Mais ces deux derniers étaient surtout motivés par leur intronisation et la médaille remise par leur hôte, le Maire de Bazas, qui avait par ailleurs eu la grande inélégance d’oublier Jean Lassalle (clivage droite/gauche quand tu nous tiens !…).

Pas très grave tout cela : Jean Lassalle, lui, préféra manger au milieu de la salle avec le peuple plutôt qu’à la table des notables. Il ouvrit le bal, fit danser les dames, chanta et accompagna les musiciens et passa de table en table, accueilli avec joie et plaisir par les convives.

Pendant ce temps, le « techno » parisien était déjà reparti avec sa cour (avant même le fromage !) et sans avoir salué aucune table tandis que le « techno » de l’Hôtel de Région, lui, fit un peu mieux, saluant au moins les tables les plus proches et feignant l’improvisation d’un chant, heureusement couvert par la voix du chanteur basque !

Dans le domaine de la proximité, les faits parlent donc d’eux-mêmes pour illustrer les comportements des principaux candidats au Conseil Régional.

La fin de semaine apporta la rançon de la gloire. En effet, en une semaine, Jean Lassalle s’est hissé au niveau des deux candidats présentés jusque-là comme étant les principaux.

FORCES AQUITAINE est devenue la liste surprise et donc dangereuse pour certains. Les réactions n’ont pas tardé, mais elles se sont exprimées sur des terrains qui n’embellissent pas la politique !

Ainsi, on nota un changement de ton dans l’hégémonique média local : Sud-Ouest. Très lié financièrement au Conseil Régional et donc à la majorité sortante, ce journal (dont TV7 fait aussi partie) ressemble, dans cette campagne électorale, de plus en plus à un service de communication du Président sortant : des commentaires et des analyses toujours très orientés et, plus grave encore, des comptes-rendus factuels biaisés voire complètement faux.

Un des exemples de la semaine concerne l’article d’hier sur la fête des « Bœufs gras ». Celui-ci raconte que face à Alain Rousset et Xavier Darcos, Jean Lassalle a « rasé les murs avant d’aller s’assoir au fond de la…salle ». Jeu de mot pathétique et mensonge bien indigne du journalisme !

Mais en matière de bassesse, on peut encore faire mieux et il semble que les porte-flingues socialistes ne reculent devant rien. Le Canard Enchainé a, ainsi, relayé une dénonciation calomnieuse (sans, bien sûr, vérifier ses source. Encore du vrai journalisme !) portant sur le financement de billets d’avion. Mensonge qui ne passa pas la nuit puisque furent produites, dès le lendemain, les factures en règle de ces fameux billets d’avion.

Voilà donc les pratiques des personnes qui gouvernent de nos jours, adeptes de l’adage : «calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose ». De la politique de caniveaux, juste bonne à gonfler les rangs de l’abstention.

Mais, peu nous importe : la liste FORCES AQUITAINE de Jean Lassalle trace sa route avec honnêteté, indépendance et courage. Nous proposons aux Aquitains une autre façon de faire de la politique : plus proche d’eux et pour eux.

Soyez nombreux à relayer notre message dans les jours à venir.

L’Aquitaine ne le sait pas encore mais elle va voter pour nous !

Adrien Debever

Jean Lassalle, lueur d’espoir pour la jeunesse !

dsc02873_Jeudi dernier, Jean Lassalle, candidat à la Présidence du Conseil Régionale d’Aquitaine en mars prochain, a rencontré les Jeunes Démocrates de Gironde et leurs sympathisants.

Cette rencontre fut l’occasion pour les JDEM de remettre à Jean leur projet pour les régionales : « Aquitaine terre de défis ».

Un échange s’est instauré, entre la tête de liste de FORCES AQUITAINE et les jeunes, autour des thématiques qui leurs sont chères : logement étudiant, insertion et formation professionnelles, création et reprise d’entreprises ou bien encore les risques psycho-sociaux du travail.

Au delà de ces sujets concrets, Jean Lassalle nous a surtout parlé de son parcours, de ses valeurs, de sa vision d’un responsable politique.

Le contact avec les jeunes, lui est naturel. Il parle avec émotion et convivialité des choses simples mais essentielles de la vie.

Nous avons découvert un homme humble mais déterminé, au service des autres mais conscient qu’un dirigeant politique doit savoir montrer le chemin et ne pas être seulement un « suiveur d’opinion ».

Il veut installer un Conseil Régional qui soit « l’ami » du peuple, un facilitateur de proximité et pas simplement l’outil d’une élite.

Si ce personnage hors norme de la classe politique française a tous les aspects de l’homme providentiel, il s’en défend, considérant que l’on ne peut réussir qu’en équipe.

En entrant dans ce restaurant des Capucins, beaucoup de jeunes ne connaissaient de Jean Lassalle que l’image médiatique et ils l’abordaient avec beaucoup d’interrogations.

A la fin de la soirée, de nombreux regards avaient changé, on pouvait sentir un petit quelque chose en plus… peut-être bien une lueur d’espoir, suscitée par cette rencontre avec un homme de cœur et de courage, indépendant et prêt à construire l’avenir avec nous, les jeunes !

Adrien Debever

Retrouvez également le compte-rendu de la soirée sur le site des JDEM 33

Le Modem, une certaine façon de gouverner…

cubQuand on est adhérent au Mouvement Démocrate, on porte profondément en soi des valeurs d’humanisme, de liberté, d’égalité et de justice sociale. Cela se décline dans un programme économique et social que nous avons largement précisé lors du Congrès d’Arras (Télécharger le projet humaniste).

Cependant, très souvent, on nous reproche de ne pas pouvoir donner d’exemple concret de la politique que nous prônons. Il est, en effet, assez difficile de mettre en avant des résultats quand on n’a pas le pouvoir et que l’on est dans l’opposition.

Nous prétendons faire de la politique différemment. Par ce terme un peu présomptueux, nous entendons surtout faire preuve de pragmatisme, ne pas être contraints par des idéologies ou des lobbys, agir dans l’intérêt collectif et ainsi dépasser les vieux clivages politiques.

Au niveau local, nous avons des exemples concrets de cette conception. Pas plus tard que jeudi dernier avec la prise de position d’Alain Cazabonne, chef de file des élus Démocrates à la CUB (Communauté Urbaine de Bordeaux), sur le projet du Grand Stade (voir l’article de Sud Ouest).

Il souhaite, ainsi, réunir le projet de la salle de spectacle ARENA et celui du Grand Stade en un même bâtiment multifonction, situé à Bordeaux-Lac.

Cette proposition est d’ailleurs portée depuis plusieurs semaines par les Jeunes Démocrates de Gironde et je l’avais également évoquée il y a quelques mois, dans un précédent article, en m’appuyant sur l’exemple du projet lillois.

A ce jour, quelle est la situation ? Deux projets distincts menés par la co-gestion de la CUB (qui trouve sans doute là ses limites) :

  • Une salle de spectacle ARENA, à financement privé (donc surfaces commerciales), à Floirac en «territoire socialiste».
  • Un projet de Grand Stade, dont le financement pose problème (la majorité socialiste du CG en refusant de co-financer pousse encore à une solution commerciale!), situé à Bordeaux-Lac en «territoire UMP».

Bref, deux projets qui pourraient ne faire qu’un et qui au lieu de cela entrainent doublons, surcoûts et une multiplication des grandes surfaces commerciales (dont la CUB est déjà championne de France) qui seront de nouvelles attaques contre le commerce de proximité.

Face à cette situation, les seules voix à s’être élevées contre ces aberrations en proposant des solutions intelligentes tout en restant ambitieuses, sont celles du MoDem.

En premier lieu, par Jean Lassalle, candidat à la Présidence du Conseil Régional, qui est le seul candidat majeur à avoir clairement défendu le co-financement public du projet afin d’éviter la sur-abondance de surfaces commerciales.

Puis par Alain Cazabonne, jeudi, en proposant la solution pragmatique d’un projet unique fusionnant les deux en cours. Mais pour cela, il fallait sortir des petits arrangements entre Droite et Gauche sur le territoire de la CUB !

Une gouvernance qui fait passer l’intérêt collectif avant les arrangements partisans, voilà qui est intéressant, y compris pour le futur Conseil Régional qui sera élu en mars prochain…

Adrien Debever
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L’un assèche, l’autre gaspille !

compteurcgLa réforme des collectivités territoriales et de la Taxe Professionnelle n’en finit plus de faire débat ou plutôt d’alimenter le combat entre élus de tous bords.

Si cette réforme reste encore peu compréhensible par le grand public, car technique et peu « glamour », elle n’en demeure pas moins très importante pour le fonctionnement et l’efficacité de la politique locale dans les années à venir.

Après de multiples versions, le volet financier dégage une philosophie assez claire (la partie sur les modes de scrutin et les cantons n’est pas encore arrêtée) :

en effet, avec la suppression de la T.P, le gouvernement procède à une redistribution des produits de la fiscalité locale (taxe d’habitation, taxe foncière sur les propriétés bâties, taxe foncière sur les propriétés non bâties). Les privilégiés sont les blocs communaux (Communauté de communes/Communes), qui obtiennent globalement plus de moyens et cela au détriment des Conseils Généraux (CG) et des Conseils Régionaux (CR), grands perdants de la réforme.

Cela a pour conséquence de réduire le lien et la relative dépendance des communes vis-à-vis des Conseils Généraux, et, à un degré moindre, des Conseils Régionaux, qui jusqu’ici subventionnaient fortement les communes.

Cette volonté et cette stratégie politique sont très discutables, en particulier du point de vue de la solidarité départementale (entre communes riches et pauvres), du poids des régions françaises en Europe, ou bien des projets transversaux à l’échelle d’un département ou d’une région. Sans oublier la pertinence d’une telle réforme actuellement (voir un précédent article).

Par contre, il est vrai que cela limite le risque de mise en place d’un système « clanique » et de baronnies au niveau départemental.

La Gironde est le parfait exemple de ce risque. A la tête du Conseil Général, son Président, Philippe Madrelle, règne en maître absolu depuis 30 ans. Il dirige d’une main de fer sa majorité écrasante grâce à un système de chantage globalisé : subvention contre allégeance politique. C’est un procédé aussi efficace qu’il est anti-démocratique et contraire à l’intérêt général.

Ainsi, depuis quelques semaines, Philippe Madrelle est entré en guerre ouverte avec le Gouvernement et cela avec les moyens du Conseil Général et donc des contribuables girondins. Cet affrontement partisan se fait à grand coup de dépenses de communication dont le dernier épisode est l’installation d’un grand compteur de façade indiquant en temps réel la dette de l’Etat vis-à-vis du Département (voir photo).

Ces comptes d’apothicaire et ces duels de clochers n’intéressent pas la population. Tout cela concerne l’argent public, celui des contribuables. Savoir qui le possède est secondaire, c’est l’efficacité de son utilisation qui est importante.

Philippe Madrelle parle de la misère et de la détresse actuelle des girondins mais sa réponse est une prise en otage de ces mêmes girondins en menaçant de couper tous les investissements du C.G en 2010. Dans le même temps, la collectivité qu’il dirige est incapable de baisser ses dépenses de fonctionnement en période de crise ; elle  fait exploser les dépenses de communication, gaspillant ainsi allégrement les moyens dont elle dispose. Le C.G est sans doute moins miséreux qu’il ne le dit : son faible endettement en est d’ailleurs une preuve.

Vouloir défendre le Département est très louable mais cela ne doit pas virer au conservatisme ni à la protection d’intérêts partisans. Il faut au contraire moderniser cette collectivité. Et le débat de fond doit avoir lieu de façon démocratique au Parlement (Philippe Madrelle est Sénateur) et par les urnes (les Régionales sont dans deux mois…).

Entre un Etat qui va assècher, de fait, les Conseils Généraux et Régionaux, et une majorité socialiste qui gaspille à des fins partisanes, il y a sans doute un juste milieu dans l’intérêt collectif et celui de la démocratie locale…une position plus pragmatique et centriste…

Adrien Debever

Pour vous forger votre opinion vous pouvez également aller voir le site spécialement créé et financé par le C.G 33 ainsi que la position du Président du groupe d’opposition, Yves d’Amécourt.

Appel des bloggeurs démocrates pour la citoyenneté

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Nous, bloggeurs militants, acteurs de la vie de la cité, nous réjouissons que de nouveaux espaces de débats d’opinion et de constructions des choix collectifs fassent évoluer la démocratie.

Néanmoins nous clamons que l’acte démocratique garant de nos libertés, de nos valeurs républicaines, de notre modèle de société et de l’égalité de tous devant les choix qui s’offrent à nous reste LE VOTE !

Ainsi, 2010 sera une année où nous devrons à nouveau nous exprimer pour choisir dans chaque région les projets et les équipes qui auront à répondre aux enjeux de mobilité et de transports, d’éducation et de jeunesse, de formation professionnelle, de logement, d’aménagement durable et de développement économique.

Nous appelons aujourd’hui tous nos concitoyens qui ne l’auraient pas encore fait à s’inscrire sur les listes électorales avant le 31 Décembre 2009, pour être acteurs et décideurs de l’avenir de nos régions les 14 et 21 mars prochains. Agir pour ne pas subir!

S’inscrire sur les listes électorales, c’est simple, ça ne prend pas plus de cinq minutes et ça peut tout changer. Il suffit de se rendre au service élection de votre mairie, de vous munir d’une pièce d’identité et d’un justificatif de domicile : http://vosdroits.service-public.fr/particuliers/F1367.xhtml

Pour relayer au mieux cet appel nous incitons nos lecteurs à transmettre largement ce billet autour d’eux et à arborer fièrement l’avatar citoyen sur leurs profils sociaux ou leurs blogs.

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Démission !

ex-comite-de-la-4emeEn adhérant au MoDem et pour la première fois à un parti politique, je suis venu apporter mon énergie et mon envie de voir triompher nos valeurs et nos idées.

La volonté affirmée de faire de la politique différemment fut également un élément déclencheur de ma démarche.

C’est pour rester fidèle à ces idéaux, qu’aujourd’hui, je démissionne du comité MoDem de la 4ème circonscription de la Gironde.

Quand on exerce des fonctions et des responsabilités, on doit toujours se demander si l’on est fidèle aux objectifs et au cadre qui nous ont été fixés. Si cela n’est plus le cas et qu’il n’y a pas d’amélioration possible, il faut avoir le courage d’en tirer les conséquences.

Dans ma vie professionnelle comme dans ma vie personnelle, j’ai toujours assumé ces situations.

Il en va donc de même, aujourd’hui, concernant mon rôle de membre du comité de la 4ème circonscription.

Ma démarche s’inscrit également dans un acte collectif, puisque nous sommes 7 sur 9 à démissionner de ce comité.

La fin, de facto, du comité est sans doute un grand gâchis mais c’est aussi la volonté de repartir sur des bases saines pour le bien du MoDem et de ses valeurs, sur la rive droite.

Si nous en sommes arrivés à ce point de non retour, c’est en réaction aux agissements de notre déléguée de circonscription : Anne-Lise Jacquet.

En effet, depuis un an et demi, elle n’a cessé de tenir une ligne politique basée sur des alliances automatiques avec, en particulier les municipales de 2014 en perspective. Cela est contraire à la génétique du MoDem, qui est un parti indépendant, autant vis-à-vis de la gauche que de la droite.

Des alliances sont possibles, comme cela a pu être le cas lors des dernières municipales, mais cela ne peut se faire que sur la base d’accord de programme, publiquement débattu. Il n’y a donc jamais de caractère définitif et perpétuel, sinon le débat sur les programmes serait purement fictif et notre liberté illusoire.

Notre déléguée est donc en opposition avec la ligne de François Bayrou, celle du MoDem de Gironde (qui l’a réaffirmé lors de son Conseil Départemental du 14 septembre dernier) et celle de 80% de son comité de circonscription qu’elle a la charge d’animer.

Car, à ce problème grave de ligne politique, s’ajoute une absence de concertation avec son comité et une animation du MoDem de la rive droite des plus discrètes.

Notre déléguée est élue, comme nous, pour 3 ans et dans la mesure où elle ne tire pas les conséquences de sa situation ultra-minoritaire, c’est à nous d’agir afin de clarifier, aux yeux de la population et des électeurs, la position indépendante du MoDem. Surtout que nous sommes à quelques semaines des élections régionales qui illustreront ce positionnement politique à travers la liste autonome du MoDem.

En politique comme ailleurs, les ambitions individuelles ne sont pas critiquables à condition qu’elles soient au service d’une volonté collective de porter un projet pour le plus grand nombre. C’est là le rôle primordial des partis politiques et ce n’est qu’ainsi que l’on peut espérer changer le monde !…

Adrien Debever

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Pourquoi j’ai adhéré à Cap 21

cap21En adhérant au MoDem après les présidentielles de 2007, j’ai également adhéré à un projet politique basé sur l’humanisme mais aussi sur le respect de notre environnement.

La conscience écologique du MoDem est dans sa génétique et elle est portée par de nombreuses personnes au sein du mouvement. Certains issus des Verts, comme Jean-Luc Bennahmias ou Yann Wehrling, ou d’autres de Cap 21, comme Corinne Lepage.

A la création officielle du Mouvement Démocrate à Villepinte en décembre 2007, j’avais cru comprendre que l’UDF et Cap 21 se fondaient dans une famille commune et ouverte à tous : le MoDem.

Prenant pour la première fois ma carte dans un parti politique, je me définissais, bien sûr, comme MoDem, mais également comme héritier de l’UDF et adhérant de facto aux idées environnementales de Cap 21.

C’est dans cette logique que j’ai défendu les couleurs du MoDem en étant candidat aux cantonales quelques mois plus tard.

J’ai proposé à la population, à cette occasion, un programme fortement marqué par le développement durable (et qui fut salué comme tel par les observateurs). C’est donc naturellement que j’ai associé ma candidature à Cap 21 en plus du MoDem.

Les mois passèrent et en interne on constata que la fusion entre les membres de Cap 21 et ceux du MoDem ne se fit pas. C’est même deux entités qui continuèrent à vivre côte à côte avec parfois même des tensions importantes…

Le projet initial était cependant d’unir les forces et les idées dans un nouveau et grand parti et cela se traduisit, finalement,  par un affaiblissement en matière de fonctionnement et de communication.

Et pourtant sur le fond, et c’est cela qui compte vraiment, la cohérence est toujours là. L’humanisme implique aussi le respect de l’environnement de l’Homme. Quand j’ai entendu le discours de Corinne Lepage à la Grande Motte en septembre dernier, je fus enthousiaste.

Malheureusement, je suis contraint de constater que je suis MoDem mais pas Cap 21. Je pensais qu’après deux ans d’existence du MoDem, cette différence n’existerait plus et que tout adhérent du MoDem serait, de fait, membre de Cap 21 et vis versa…

Sans doute était-ce là un peu de naïveté de ma part. Et bien soit ! Tel Lagardère (« Le Bossu »), « si Cap 21 ne vient pas à moi, j’irai à Cap 21 » !

C’est ainsi que j’ai adhéré, hier, à Cap 21. Je souhaite de cette façon, réaffirmer mes convictions écologistes. En outre, je crois que pour éviter que cette cohabitation entre deux mouvements au sein d’un des deux ne nuise à l’intérêt collectif au profit de quelques ambitions personnelles, la solution est peut-être dans la réunification effectuée par les adhérents eux-mêmes.

Avec une double adhésion, nous ferons ainsi un « Villepinte » de fait, puisque celui de droit à échoué, et  nous assurerons une fusion par la base, véritable ingrédient de nos futurs succès électoraux…

Adrien Debever

Adhérent MoDem et Cap 21

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Lancement du nouveau site des Jeunes Démocrates de Gironde

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Les Jeunes Démocrates de Gironde lancent leur nouveau site.

Dans la perspective des grands rendez-vous à venir et en particulier les élections régionales, ils ont relooké et dynamisé cette interface.

Vous trouverez ainsi : leur actualité, des articles de fond, des comptes-rendus de leurs actions, un album photos, leurs publications, leur agenda…

Ils vous attendent nombreux et dans une démarche participative puisque vous pourrez commenter leurs articles et faire part de vos observations.

www.jeunesdemocrates33.fr

Bon surf !