Cet anniversaire est l’occasion de relativiser les difficultés de notre époque. Quel péril plus grand que celui de voir disparaître sa liberté et sa nation ?
Il ne s’agit pas, pour autant, de minimiser les maux d’aujourd’hui mais plutôt, pour pouvoir les résoudre, de s’inspirer de l’esprit de cette France libre, en refusant de déposer les armes, de se laisser aller à l’individualisme, à l’égoïsme et à la résignation.
En cette journée, j’ai une pensée toute particulière pour mes grands-parents et mes grands oncles qui, le 18 juin 1940, ont répondu à l’appel du Général.