Législatives dans le Médoc
Je suis très honoré d’avoir été choisi par le MoDem, avec le soutien de mon Maire, Laurent Peyrondet, pour les élections législatives dans la 5ème circonscription de la Gironde.
Cette démarche devra s’inscrire dans un large rassemblement afin d’offrir au Médoc le renouveau qu’il mérite.
Mais avant d’aborder ces législatives, la priorité est de faire gagner Alain Juppé à la primaire de la droite et du centre des 20 et 27 novembre. Le grand rassemblement réformateur est en marche !
Le succès de la stratégie de communication à Lacanau
Durant la campagne municipale de 2014, l’équipe de Vivons Lacanau, autour de Laurent Peyrondet, avait fait le constat que la commune souffrait d’une image dégradée et d’une carence de communication à destination des habitants. Nous avions pris l’engagement de mettre en place une communication moderne afin d’informer avec transparence et pédagogie nos administrés sur les actions de la municipalité et de créer une stratégie de marketing territorial afin de promouvoir positivement la marque « Lacanau ».
En mars 2014, le nouveau Maire m’a ainsi confié la délégation de la communication pour mettre en place ce programme.
La première étape fut du domaine de l’organisation interne en créant un vrai service Communication avec à sa tête un Directeur. Cela a permis de réinternaliser certaines tâches et ainsi faire des économies sur les dépenses de fonctionnement et dans le même temps de développer fortement les supports de communication et les champs d’action.
Après deux ans, les résultats sont déjà très appréciables comme le confirme le bel hommage de Sud Ouest dans l’article ci-dessus. Bien sûr, dans ce domaine rien n’est jamais acquis et les projets encore nombreux…l’aventure continue…
Point d’étape sur nos engagements après 2 ans à Lacanau
Journal du Médoc : « 9,9 millions d’investissements »
Primaire : à Bordeaux, le MoDem en ordre de marche derrière Alain Juppé
A Bordeaux et en Gironde, le MoDem affiche son soutien à la candidature d’Alain Juppé à la primaire à droite. Le parti de François Bayrou en profite pour récupérer plusieurs élus déçus de l’UDI.
Le mercato en football est terminé depuis lundi soir. Au MoDem de Gironde, il n’y a pas de date limite. Le parti de François Bayrou, présidé dans le département par Joan Taris, voit affluer les déçus de l’UDI… voire même des Républicains. Un adjoint d’Alain Juppé à la mairie de Bordeaux, Didier Cazabonne, a choisi de revenir au MoDem déserté en 2012. Même chose pour le conseiller municipal Benoît Martin.
Autres prises de guerre : Alain Dupouy, ex-élu municipal bordelais très proche d’Alain Juppé (il fait d’ailleurs partie des conseillers chargés d’élaborer le projet du candidat à la primaire) et Alain Moga, autre « historique », ancien conseiller général de Bordeaux et ancien adjoint à la mairie de Bordeaux. La dernière en date à quitter l’UDI pour le MoDem est Catherine Mélul, la première-adjointe à la mairie de Gradignan.
Tous derrière Alain Juppé pour la primaire
C’est la volonté affichée du MoDem, à l’image de la stratégie adoptée par François Bayrou. Le candidat naturel pour la Présidentielle 2017 s’appelle Alain Juppé. Mais il doit franchir l’obstacle de la primaire à droite. Le mouvement centriste ne co-organisera pas cette primaire mais appelle ses adhérents à y participer. « Pour co-piloter le camion, il faut être solidaire du résultat, explique Fabien Robert, le chef de file du MoDem à Bordeaux. Mais il est clair que si c’est Sarkozy qui gagne, ce ne sera plus notre affaire ».
« Si Alain Juppé échoue, on ne pourra pas se reconnaître dans une candidature Sarkozy, poursuit Joan Taris. Mais une candidature Bayrou serait alors naturelle ». « Nous sommes fidèles à François Bayrou et loyaux à Alain Juppé, précise Joan Taris. Nous demandons à chaque adhérent, à chaque sympathisant de participer à la primaire pour pousser derrière la candidature d’Alain Juppé. Il faut un candidat de rassemblement ».
La « famille » se recompose
Le MoDem commence par rassembler la famille centriste. C’est l’heure des « retrouvailles » affirme Fabien Robert. « Nous avons toujours fait partie de la même famille de pensée », estime l’adjoint à la culture à la mairie de Bordeaux. Pour plusieurs des « nouveaux encartés », il s’agit d’un retour au bercail. Didier Cazabonne, adjoint au maire en charge des relations internationales, a été le premier président du MoDem en Gironde. « J’avais eu une divergence de vue avec François Bayrou au second tour de la Présidentielle 2012, explique-t-il. Cela n’avait pas rompu nos liens d’amitié ».
C’est la position ambiguë du patron de l’UDI, Jean-Christophe Lagarde, qui ne veut pas prendre position en vue de la primaire à droite qui a amené Didier Cazabonne à revenir au MoDem. « Dans les grands choix, il ne faut pas tergiverser, poursuit-il. Alain Juppé est l’homme qu’il faut à la France ». Benoît Martin est sur la même ligne et affirme : « les hésitations du président de l’UDI ne me conviennent pas ». « Je suis resté centriste et juppéiste » résume pour sa part Alain Dupouy qui fut de ceux qui ont œuvré en leur temps à l’installation d’Alain Juppé à Bordeaux.
La fidélité à Alain Juppé est d’ailleurs ce qui explique l’arrivée d’Alain Moga, en provenance… de l’UMP. « Depuis trois ans, je n’avais plus de carte, explique l’ancien président du club de rugby de Bègles. Les Républicains ? Je ne connais pas (sourire). Je ne peux plus supporter les Sarkozy et les Morano et tous leurs discours excessifs ».
Source : France bleu du 03/02/16
Bonne année 2016 !
1er tour des élections régionales…l’histoire est en marche !
Le Sud-Médoc veut le tram D à Saint-Médard
Les élus du Sud-Médoc lancent une pétition commune pour que le Tram D soit prolongé jusqu’à Saint-Médard-en-Jalles pour 2020. 4 000 personnes ont déjà signé.
Samedi matin, un stand étant installé à l’entrée du supermarché U de Lacanau. En sortant des courses, la clientèle pouvait apercevoir de grandes affiches mentionnant la future quatrième ligne de tramway de la métropole bordelaise. « Nous sommes ici pour faire signer une pétition, signale Adrien Debever, adjoint au maire de Lacanau et présent sur la liste de Virginie Calmels pour les élections régionales. Nous souhaitons mobiliser le Médoc pour que la ligne D rejoigne au plus vite Saint-Médard-en-Jalles, dans l’idéal dès 2020 ».
Pour le moment, Bordeaux métropole a acté une ligne D partant de la place des Quinconces de Bordeaux et reliant le quartier Cantinolle d’Eysines, à la limite du Taillan-Médoc. Un tracé qui permettrait aux Médocains d’accéder plus facilement au centre-ville de la préfecture de Gironde.
Les travaux débuteront dès le mois de janvier 2016 et devraient s’étaler sur presque trois ans.Un prolongement vers Saint-Médard-en-Jalles est aussi en projet, mais aucune date n’estfixée pour l’instant. « La décision sera prise lors de la réunion plénière de Bordeaux Métropole le 17 décembre. D’ici là, nous espérons faire pression pour que Saint-Médard soit désservi le plus rapidement possible ! »
En quoi les Canaudais se sentiraient concernés par la constructuion d’un tramway à cinquante kilomètres de chez eux ? « Si Eysines-Cantinolles devient le terminus définitif, les Sud-Médocains se retrouveront à prendre le tramway avec tous ceux qui arrivent du nord… Et ça va créer un trafic très lourd. »
Urgence grande ligne D
Alors le collectif, baptisé Urgence grande ligne D, va à la rencontre des habitants de la péninsule, au porte à porte ou sur les marchés, afin de les sensibiliser à la question.
L’opération est soutenue par de nombreux maires médocains, soucieux de dynamiser leurs communes avec l’arrivée du tram.
« Nous avons rencontré les maire de Lacanau, Carcans, Saint-Laurent-du-Médoc et Castelnau. Tous nous soutiennent, explique Michel Barat élu à Saint-Médard. a déjà recueilli plus de quatre mille signatures.
Source : Sud Ouest du 30/11/15
Aqui.fr : « Les candidats girondins de Virginie Calmels sont connus »
En ces temps d’élections régionales, la Garonne, décidément, apparaît comme le lieu stratégique pour présenter les listes de candidats. Après Alain Rousset qui avait procédé à l’excercice, sur l’eau, à bord du Sicambre, Virginie Calmels a présenté ces 48 candidats girondins (dont elle), en bordure du fleuve, dans le cadre bucolique de la Guinguette Chez Alricq, sur la rive droite de Bordeaux. Une liste qu’elle évoque comme « une équipe forte, renouvelée et d’union ». On peut en tout cas lui reconnaître que, dans les 12 premiers noms, éligibles même en cas de défaite, figurent Républicains, Modem, UDI et non encartés…
La Gironde est, quantitativement parlant, la section départementale la plus importante de la grande Région, puisqu’elle représente à elle seule 23% des électeurs. De quoi alors renouvelée une recette qui semble ici bien fonctionner : l’union entre droite et centre, sans oublier la société civile. « Notre union nous a permis de gérer Bordeaux et Bordeaux Métropole, et en poursuivant notre effort a permis une remise en cause historique du PS lors des départementales », souligne Virginie Calmels. Et pour cause, les 12 premiers candidats, comptent 2 MODEM, par ailleurs conseillers régionaux sortants : Yohan Taris en numéro 4, qui est aussi adjoint au Maire du Bouscat, et Martine Moga en n°7. Au nom de l’union figurent aussi 2 UDI, Nathalie Delattre, adjointe au Maire de Bordeaux et Aurélien Sebton, 30 ans adjoint au Maire de Talence, représentant aussi de l’argument «jeunesse » de ce premier quart de la liste, ainsi qu’un candidat CPNT : Eddy Puyjalon, vice président de son parti au niveau national.
Dans ce haut de liste on constate par ailleurs trois autres conseillers régionaux sortant : Alexandra Siarri, sans étiquette, adjointe au Maire de Bordeaux en charge de la cohésion sociale et territoriale, au rang 11, juste derrière, Nicolas Florian, également adjoint au Maire de Bordeaux en charge des finances, de l’administration générale, et des ressources humaines, en n°10. Mais au nombre des élus régionaux sortants on notera la 3ème position sur la liste d’Hélène Estrade, Maire de Lapouyade. Une position attestant la volonté de la candidate à la présidence de la région, de représenter les territoires ruraux dès le haut de la liste. Dans cet esprit, figure également en n°10 Yves D’Amécourt, candidat malheureux au Conseil départemental, qui représente ici le territoire du Sauveterrois, ou encore Marie-Angélique Latournerie (n°9), conseillère municipale de Langon. Un visage qui marque le renouvellement voulue par Virginie Calmels. Le numéro 2 de sa liste, l’inattendu Pierre Durand, Champion Olympique de sauts d’obstacles à Séoul en 1998, illustrant la volonté de représentation de la société civile. Une société civile également présente dans le reste de la liste où l’on retrouve outre Pierre Durand, Mohamed Jamai, fondateur du club de boxe de Pessac, ou encore Matthieu Bissseni, champion d’Europe de Basket en 1984.
Une liste et un certain clinquantComptant évidemment avoir plus de 12 élus sur cette liste, les territoires de Gironde sont aussi présents sur le reste de la liste à travers par exemple, Sophie Mette, conseillère régionale sortante, du territoire du bazadais, Bernard Lummeaux, « le monsieur culture » de la liste et adjoint au Maire d’Arcachon, Catherine Viandon, Maire de Saint Germain du Puch représentant du Libournais, tout comme Chantal Dugour, Conseillère municipale à Saint-Denis-de-Pile, ou encore Adrien Debever, adjoint au maire de Lacanau, en représentant du Médoc…
Une liste qui n’est pas sans avoir un certain clinquant au regard du choix des personnalités présentes issues de la société civile ou politique. En effet, au côté de l’ancienne dirigeante d’Endemol France et Endemol monde (entre autre), et du médaillé Olympique, candidatent des personnalités bien connues de l’écosystème métropolitain et girondin : parmi eux Sylvie Cazes, Présidente de la Cité du Vin, Stephan Delaux « Monsieur tourisme » de la liste, actuel adjoint au Maire de Bordeaux, et Président de l’Office de Tourisme et des Congrès de Bordeaux Métropole, Guillaume Petit, Directeur de l’EFAP (école française des attachés de Presse) ou encore François Sztark, Chef du pôle d’anesthésie du CHU de Bordeaux, Nicolas Brugère, adjoint au maire de Bordeaux, médecin généraliste et Président du Centre Communal d’Action Sociale de Bordeaux. Le monde économique reconnaîtra aussi la candidature, sa première en politique, de Betty Ourry, chef d’entreprise industrielle, Présidente de la délégation régionale de la FCE (Femme chef d’entreprise), élue à la CCI de Bordeaux.
Au total pour Virginie Calmels, « une liste faite de profils variés en phase avec les préoccupations des citoyens, en adéquation avec leur volonté d’alternance (…) loin du carcan socialiste stérile qui ne propose face à nous que la répétition d’un système en place et proche du gouvernement socialiste. » Un jugement sans nuance bien à sa façon.
A noter que le tout dernier nom, en place de suppléant, est celui de Dominique Ducassou, conseiller régional sortant, symbole que le « renouvellement » volontiers affirmé ne se fait pour autant pas sans passage de relais d’une génération à l’autre.
Liste des candidats
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