Un saut dans l’inconnu mais peut-être une chance historique pour la France

2017-02-26 09.59.40La situation de notre pays est particulièrement inquiétante. Nous vivons une profonde crise économique, sociale et même sociétale. Le quinquennat agonisant de François Hollande n’aura répondu à aucun des enjeux majeurs auquel la France est confrontée. 5 ans de perdu et une situation qui s’est encore aggravée. Cet échec a également plongé davantage notre vie politique dans une crise profonde de confiance avec les Français. Notre démocratie est malade et donc en danger, en particulier sous la poussée continue des extrêmes porteurs de projets dévastateurs et annonciateurs de chaos pour la France et l’Europe.

Face à un tel état des lieux, notre pays a un besoin d’alternance politique mais pas celle de l’éternel balancier droite/gauche qui sclérose et qui n’est plus audible pour les électeurs. Il faut une alternance par un large rassemblement voire une union nationale des forces de progrès, véritablement réformatrices et dépassant largement les clivages anciens.  

Alain Juppé était le choix le plus rassurant pour porter une dynamique de rassemblement

Alain Juppé portait cet espoir de large rassemblement. Sa personnalité garantissait expérience, sens de l’Etat et capacité d’action et d’ouverture au-delà de sa famille politique. Autant de qualités qui, depuis des décennies, expliquent les succès obtenus, avec les centristes à ses côtés, dans le développement et le dynamisme de Bordeaux et de la Gironde.

Malheureusement, les électeurs de droite en ont décidé autrement, privant ainsi les Français de pouvoir choisir ce grand homme d’Etat pour conduire la destinée du pays les 5 prochaines années. Ainsi va la mécanique des primaires…

Le refus d’ouverture de François Fillon

François Fillon net vainqueur de la primaire de la droite, au lieu de s’appuyer sur cette base solide pour rassembler largement, s’est, de façon incompréhensible, arc-bouté sur son programme conservateur et très marqué par la rigueur. Il a ainsi refusé toutes ouvertures programmatiques en particulier en direction des centristes et de François Bayrou. Et pourtant malgré le succès de la primaire en terme de mobilisation, les 4 millions de votants ne représentent que 10% du corps électoral français…

Bien sûr, l’arrivée par la suite de « l’affaire Pénélope », même s’il ne faut être dupe de rien, a fini de rendre impossible une alliance entre François Fillon et des centristes, qui depuis des années militent pour une moralisation de notre vie publique.

Une 4ème candidature de François Bayrou en ultime recours ?

Le temps de cette curieuse campagne présidentielle avançant, l’identité du porteur des idées centristes restait à trouver. Nous sommes nombreux alors à avoir soutenue l’idée d’une candidature de François Bayrou, finalement, et depuis des années, le mieux placé pour défendre nos valeurs et nos idées. Nous étions aussi lucides sur le contexte extrêmement difficile d’une 4ème candidature au moment où les Français manifestent leur volonté de changement de génération et le peu de temps restant avant le 1er tour. Cette campagne s’annonçait périlleuse et à l’issue très incertaine mais garantissait une voix centriste dans le débat présidentiel.

François Bayrou en a décidé autrement en renonçant à son ambition personnelle et en proposant une alliance sous condition à Emmanuel Macron qu’il juge en meilleur situation pour gagner et faire triompher les idées qu’il porte depuis plus de 10 ans. C’est un acte rare en politique, preuve d’un sens aigu des responsabilités et de l’intérêt supérieur de la nation.

Le pari Macron

Au regard du contexte de cette élection, il faut reconnaitre que le ticket Macron-Bayrou est en capacité de gagner l’élection présidentielle sans le soutien de la droite et de la gauche traditionnelles. Situation déjà approchée par François Bayrou en 2007 mais probablement que la société française n’était pas encore prête à bouleverser le vieux clivage droite/gauche. Aujourd’hui, face à une situation dégradée et un danger des extrêmes bien plus prégnants, le temps est peut-être enfin venu…

Cette alliance séduisante sur le papier ne doit pas faire oublier les réserves et inquiétudes qui portent sur la personne d’Emmanuel Macron.

Son parcours professionnel et sa dépendance financière encore aujourd’hui vis-à-vis du milieu de la haute-finance, sa part de responsabilité dans le bilan économique de François Hollande, son très jeune âge pour assumer de grandes responsabilités, son relatif flou programmatique et ses derniers dérapages en s’aventurant notamment à commenter l’Histoire de France sont autant de signes qui méritent éclaircissement.

Alors soutenu et conseillé maintenant par François Bayrou, cela peut-il lui apporter expérience et profondeur programmatique ? C’est une des nombreuses inconnues qui entourent la campagne d’Emmanuel Macron et demain son éventuelle présidence.

La première attente que nous avons vis-à-vis d’Emmanuel Macron étant, bien sûr, sa capacité à respecter les engagements qu’il a pris en acceptant la main tendue de François Bayrou. Les 4 conditions préalables à l’alliance :

  • Une véritable alternance qui tourne la page du quinquennat raté de François Hollande.
  • Une loi de moralisation de la vie publique qui doit participer à recréer un lien de confiance avec les Français et éviter les dérapages et conflits d’intérêt futurs.
  • Une politique soucieuse de protéger et d’entrainer les plus fragiles dans la dynamique d’unité et de redressement du pays.
  • L’introduction d’une dose de proportionnelle aux élections législatives afin de garantir une meilleure représentativité des citoyens de toutes opinions.

J’y ajouterai la nécessité de préserver et de s’appuyer sur les collectivités locales et la démocratie locale pour construire le redressement de la France. Le formidable maillage des territoires que constitue nos communes et intercommunalités est un atout majeur que François Hollande a mis en grand danger par une politique d’étouffement financier. Des améliorations sont à faire mais par un nouveau pacte de décentralisation qui favorise les investissements de proximité et le dialogue citoyen.

L’alliance avec Emmanuel Macron est donc une prise de risque réelle mais quel autre choix avons-nous au regard de l’offre de cette élection présidentielle ?!

Si Emmanuel Macron confirme dans les semaines à venir qu’il donne toute sa place à François Bayrou, au MoDem et aux idées centristes, alors, oui je suis prêt à faire le pari Macron et à voter pour lui.

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Adrien Debever

Adjoint au Maire de Lacanau

Trésorier du MoDem Gironde

Retour sur l’Université de Rentrée 2012 du MoDem à Guidel

Déjà ma 6ème Université de rentrée depuis mon adhésion en mai 2007 au MoDem, alors en création…. Cette année, le rendez-vous était donné à Guidel, en Bretagne. L’affluence y fut modeste et l’ambiance fraîche, tout comme l’était la température de cette fin septembre….

Néanmoins, cette Université de rentrée ne fut pas inutile, ni inintéressante. Bien au contraire ! Ce rendez-vous a permis de constater que : le parti était encore vivant,  et son leader, François Bayrou, tout autant ! L’occasion aussi de se positionner face à l’évolution du centre depuis la présidentielle et plus particulièrement depuis la création d’une nouvelle dynamique autour de Jean-Louis Borloo : l’UDI.

La clarification de notre positionnement politique était en effet vitale pour notre avenir, pour nos élus et nos militants avant d’aborder le défi des municipales dans 18 mois.

Ce qui restera de Guidel ? Le MoDem, n’en déplaise à certains finalement peu nombreux, n’est pas dans la majorité présidentielle. Le MoDem  n’a pas, non plus, vocation à être fusionné ni intégré dans la confédération centriste de l’UDI.

Par contre, le MoDem fixe l’objectif de créer et développer un partenariat privilégié avec l’UDI et ses composants. Cette main tendue de François Bayrou à Jean-Louis Borloo doit permettre d’éviter une guerre des centres avec des dilemmes inconciliables pour certains élus. C’est aussi la volonté d’imaginer un centre uni dans la perspective des municipales et des européennes.

Avec la création, à la fin de cet été 2012, de l’association « La Gironde au centre« , le MoDem Gironde était, ainsi, à l’avant-garde de cette nouvelle stratégie !

Co-fondée par le MoDem 33 et le Parti Radical 33, cette association a, en effet, pour vocation de réunir tous les courants centristes au sein d’un partenariat privilégié afin d’être unis lors des prochaines échéances locales.

Enfin, le rendez-vous de Guidel aura été aussi très important pour les Jeunes Démocrates. Outre le traditionnel apéro aquitain et  notre participation comme intervenant à certaines tables rondes (pour ma part sur celle de : « Emploi, chômage, prend-on les bonnes mesures ? »), eut lieu le Conseil National des JDem. Ce fut l’occasion de présenter le bilan de l’équipe de la mandature 2010-2012 qui touche à sa fin ; un bilan largement positif pour l’équipe qui a tenu ses engagements.

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Et maintenant ?

Depuis le 6 mai dernier,  nous avons donc un nouveau Président, un Président « normal » même !

Cela reste un concept assez curieux, mais en tout cas, les Français ont fait le choix d’une alternance « normale » : à la droite succède la gauche. Peut-être trop de normalité dans une période marquée par des difficultés qui, elles, sont hors normes …

Bref, Nicolas Sarkozy a laissé le pouvoir à un PS tout puissant qui contrôle dorénavant toute la politique en France : L’Elysée, le gouvernement, l’Assemblée Nationale, le Sénat, les régions, la majorité des Départements et des grandes villes du pays. Sale temps pour les adeptes du pluralisme politique et des contre-pouvoirs !

Inutile de revenir sur le choix des Français, il était clair dès le premier tour de la présidentielle : bipolarisation et conservatisme ; le tout baignant dans la peur de l’avenir avec, comme pensée unique, la politique de l’autruche. Le second tour de la présidentielle n’aura été qu’un vote « pour » ou « contre » la personne du Président sortant. Les législatives, un mois plus tard, n’ont-elles pas été une pure perte de temps ? Les Français n’y ont manifesté aucun intérêt et ceux qui sont allés voter, l’ont fait sans  imagination, de façon mécanique, bien éloignée des enjeux réels et majeurs de cette nouvelle mandature.

Le sarkozysme aura vécu et avec lui les ambitions de la droite soi-disant « populaire » aux valeurs si peu humanistes. Qui s’en plaindra ? Au regard des 5 années passées dans une opposition pragmatique et constructive au sein du Mouvement Démocrate, sûrement pas moi !

Néanmoins, le tout Etat PS ne fait pas rêver ; il ne fait déjà plus rêver grand monde. Les promesses de campagne sont bien lointaines et les premières mesures n’annoncent rien de bon : dépenses publiques, imposition des classes moyennes, alourdissement  des charges pour les entreprises…

Les perspectives des mois à venir semblent promettre toujours plus de chômage, avec son effet boumerang sur le pouvoir d’achat.

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Le JDD du 11/12/11 – Sondage : l’effet Bayrou

Le patron du Modem récolte 13% des intentions de vote au premier tour de la présidentielle, selon un sondage LH2 pour Yahoo! réalisé après l’officialisation de sa candidature. François Bayrou talonne désormais Marine Le Pen, alors que François Hollande reste favori pour briguer l’Elysée.

Le « troisième homme » de 2007 pourrait-il être celui de 2012? Dans un sondage LH2 pour Yahoo! publié dimanche, François Bayrou est en forte progression dans les intentions de vote. Le patron du Modem gagne six points et franchi pour la première fois la barre symbolique des 10%, pour être crédité de 13% des voix au premier tour de l’élection présidentielle.

Cette hausse est la conséquence d’un temps fort médiatique dans sa campagne, relève l’institut LH2, qui a réalisé cette enquête les 9 et 10 décembre. Une campagne marquée par l’officialisation mercredi de sa candidature, d’une participation jeudi à l’émission Des paroles et des actes sur France 2 et d’un premier meeting à Pau samedi.

Déjà il y a cinq jours, un sondage BVA pour Le Parisien mesurait une progression de François Bayrou, le créditant de 9% des voix, soit trois points de plus par rapport à la précédente enquête. Surtout, le sondage LH2 publié dimanche révèle que le centriste menace directement Marine Le Pen. En baisse de 1,5 point par rapport au précédent sondage LH2 (18-19 novembre), la présidente du Front national bénéficie désormais de 13,5% des intentions de vote.

« L’Histoire est en marche! »

Dans le camp centriste, ce rebond sondagier suscite l’optimisme pour 2012. Certains parient sur un meilleur résultat que pour la dernière présidentielle, où la candidature Bayrou s’était envolée dans les sondages à partir de février 2007 seulement. Sur Twitter, l’ancien ministre du Budget, Alain Lambert, qui a rallié le patron du Modem, explique que François Bayrou « fera plus que les 18,57% de 2007 car il est prêt ».

L’ancien sénateur précise même qu’il « sera à plus de 20% au 15 février quand tout bascule dans la tête des Français ». Même enthousiasme pour le vice-président national des Jeunes démocrates, Adrien Debever : « Sondage à 2 chiffres avant Noël…l’Histoire est en marche! », écrit ce dernier.

Reste que François Hollande et Nicolas Sarkozy sont toujours loin devant dans les intentions de vote et assurent leur qualification pour le second tour. Selon le sondage LH2, le candidat socialiste recueillerait 31,5% des voix si le premier tour avait lieu dès à présent, gagnant ainsi 1,5 point. Le président sortant, lui, recule de trois points, désormais à 26%. Au second tour, l’écart entre les deux hommes se réduit quelque peu. Mais François Hollande reste le favori, avec 57% des voix et un point de moins.

De leurs côtés, les candidatures Jean-Luc Mélenchon et Eva Joly sont en baisse, et recueillent respectivement 6,5% (-0,5 point) et 4,5% des voix (-1,5). L’ensemble des autres candidatures ne dépassent pas les 1% d’intentions de votes.

Source : Le JDD du 11/12/11

Retour sur l’Université de Rentrée 2011 du MoDem à Giens

Organisée sur le même site que l’an dernier, cette édition 2011 fut cependant très différente. En effet, elle a été marquée par une affluence record et une importante présence des médias. Une dynamique est en train de naitre dans le sillage de la publication du livre de François Bayrou : « 2012, état d’urgence ».

Les débats et tables rondes, très nombreuses et qualitatives, ont d’ailleurs beaucoup tournés autour des thèmes de la production, de l’éducation et de la reconstruction d’un système politique irréprochable et efficace.

Ce fut également l’occasion de vérifier que François Bayrou est loin d’être seul et que plusieurs personnalités politiques sont en train d’amorcer un retour à ces cotés, telles que : Pierre Méhaignerie, Bernard Bosson, Anne-Marie Idrac, Jean François Kahn, Jean Arthuis…

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Etat d’urgence : le chemin est tracé, les tabous doivent tomber !

François Bayrou vient de sortir un livre qui préfigure son programme présidentiel : « 2012, état d’urgence ».

Il y cible avec clairvoyance et lucidité les causes profondes des problèmes de notre pays et ses besoins.

En 2007, François Bayrou fut le seul à mettre au cœur de la campagne présidentielle, le problème des déficits publics et de la dette…ces dernières années lui ont malheureusement plus que donné raison.

Cinq ans après, la situation de notre pays s’est encore dégradée avec en plus l’accélération des difficultés sous l’effet de la crise mondiale.

La présidentielle de 2012, n’aura rien de commun avec ses devancières, la France est au bord de l’abîme, elle est en état d’urgence, ce sera probablement, pour les Français, la dernière occasion d’inverser le cours des événements.

Cela demande une prise de conscience collective et de briser les idées reçues et le fatalisme ambiant.

Certains pays proches comme l’Allemagne ont su se redresser spectaculairement il y a quelques années. Pourquoi pas nous, si nous concentrons les efforts de la nation sur les deux leviers qui entraînent tout le reste : la production et l’éducation.

Cette révolution des mentalités ne peut être conduite par ceux (droite et gauche) qui ont échoué depuis si longtemps mais par une majorité d’un nouveau type : large, courageuse et d’union nationale.

Je vous encourage à découvrir ce livre, pierre fondatrice de ce qui pourrait bien être le grand défi de ma génération !

 

Adrien Debever

Ça s’agite mais la seule alternative crédible reste Bayrou !

C’est le printemps qui veut cela : ça bourgeonne de toute part.

La pré-campagne présidentielle fait poindre les ambitions de nombreuses personnalités politiques et même au-delà. Chacun y va de ses envies, de ses secrets de Polichinelle, de ses calculs stratégiques et de la présentation de ses promesses programmatiques.

Face à tant d’agitation, la vie politique française semble être passée dans un shaker, au détriment de sa visibilité et de ses enjeux.

Un constat

Les scrutins se suivent depuis plusieurs années et à chaque fois le divorce entre les citoyens et leurs élus semble de plus en plus profond. L’un des constats qui s’impose c’est que les Français sont aujourd’hui majoritairement contre le système de bipolarisation de la vie publique. C’est le drame des deux dominants UMP et PS qui payent l’échec de leur gestion successive depuis 30 ans.

Ce rejet se manifeste de plusieurs façon dans les urnes : principalement par une abstention massive et par une poussée des extrêmes à droite comme à gauche (les phénomènes « Marine » et « Mélenchon »). Cela ouvre également d’autres perspectives au centre de l’échiquier politique qui devient, plus que jamais, l’objet de nombreuses convoitises ; mais reste à savoir pour quel projet…

Le choix

Si les Français souhaitent sortir de la bipolarisation, le choix est finalement assez simple et, par élimination, il coule de source :

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Tout est en place…

La veille du Congrès du MoDem, le samedi 11 décembre dernier, les Jeunes Démocrates étaient également réunis en Congrès à Paris.

Troisième Congrès de l’histoire de la structure jeune, il fut sans doute aussi le plus apaisé et le plus concluant.

L’organisation et la mobilisation des jeunes furent un réel succès. Seulement 3 mois après son l’élection, la nouvelle équipe de direction des JDem a imprimé une évolution nette dans la structuration et la reconnaissance interne de la structure jeune du MoDem.

Le Congrès a ainsi mis en lumière les éléments suivants :

  • Une structure enfin en ordre de marche : adaptation statutaire, représentation au niveau européen (YDE), reconstitution d’un maillage territorial…
  • Un réel consensus interne avec la disparition des grands clivages et conflits larvés internes dont l’un des symboles forts fut l’adoption à l’unanimité du budget 2011.
  • Concrétisation d’un travail de fond de qualité et d’une réelle force de proposition. L’efficacité ainsi démontrée des pôles de réflexion avec la production de contributions pour le Mouvement Démocrate.
  • Donner une image désormais positive des JDem aux cadres du parti, pour preuve la longue présence de François Bayrou, Marc Fesneau et de Fadila Mehal lors du Congrès des JDem.
  • Une présence média, liée aussi à ce changement de regard interne, en pleine progression à travers l’importante production de communiqués de presse (repris parfois par le MoDem) et des lancements de projets importants tel que l’Homère Network…

Tout est donc en place pour aborder l’année 2011. Elle sera capitale pour les Jeunes Démocrates comme pour le MoDem, indissociables dans cette aventure qui concerne toute une génération. C’est, en effet, l’année de préparation pour le grand rendez-vous de 2012 !

Et selon Sun Tzu : « Tout le succès d’une opération réside dans sa préparation »…

 

Adrien Debever